M.Gilbert David nous a fait visiter la forêt de Chamaloc. Il nous a présenté l’ONF ( office nationale des forêts ). Il travaille aussi pour les oiseaux . Du côté de la faune nous avons vu : des Chamois rupicapra, des Chenilles processionnaires accrochées à la queue leu-leu ...
Et du côté de la flore : des pins noirs d’Autriche, des pins Sylvestre, des Alisiers blancs, des Chêne pédonculés, des Érables à feuilles d’obier
Nous avons vu des marques rouge sur certains arbres. Gilbert nous a expliqué qu’en dessous des traits la partie de la forêt appartenait à l’Etat et l’autre partie était séparée en plusieurs parcelleset que chaque partie était privée. Plus loin il nous a dit que la forêt a été replantée il y a 150 ans car les gens du Moyen -âge l’avaient rasé pour en “faire” des pâturages et donc que c’est une jeune forêt, les vielles forêts peuvent avoir jusqu’à 800 ans !!!! On avait une splendide vue.

Nous avons vu des espèces de tuyau coller au sol pour éviter que l’eau déborde. On nous a dit que la forêt sert a retenir les rochers et la terre. C’est très important pour éviter des avalanches de terres et de rocher. Nous avons vu plus loin que sa sentait le brulé, Gilbert nous a dit que la semaine dernière le 14 et le15 Mars, il y a eu un incendie dans la forêt et on a vu la terre brulé, les arbres brulés, morts.... Il nous a dit que c’est très dangereux d’allumer un feu dans une quelconque forêt. M.Gilbert David nous à aussi monté comment mesurer un arbre sans monter dessus, on prend 2 bâtons de même taille et on les mets perpendiculaire sans les croiser, on les positionnent sous notre oeil, on regarde l’arbre que l’on veut mesurer et en reculent ou en avançant, il faut que avec le bas du bâton droit soit en bas du tronc et que le haut du bâton soit sur la plus haute branche de l’arbre, après avoir vu ça on regarde sa position et normalement si on l’a bien fait, on coupe l’arbre et il tombe juste devant nous. Pour mesuré la largeur on prend un objet spécial : le compas.
nous sommes montés à 740m d’altitude, puis nous avons déjeuner dans une petite clairière. Nous somme descendus et sommes arrivés sur un plateau, de là, nous avons vu l’incendei de samedi. Et celui qui a 50 ans

Celui d’il y a 50 ans qui avait tout ravagé, nous avons pu constaté que que les dégâts étaient énormes sur la partie gauche en haut, il n’y avait plus d’arbre et que même au bout de toutes ces longues années, les dégâts n’étaient toujours pas réparés.
Nous avons continué de descendre et sommes tombés devant un centre équestre, dans un pré nous avons vue plusieurs poneys. Nous sommes allés les caressé pendant que d’autre se reposer. Nous avons longés une route puis nous avons aboutit sur un genre de parc ou nous voyions toujours les remparts puis nous avons continués notre route pour arriver en haut de Die. Nous avons dit au revoir à M. Gilbert David et sommes rentrés à l’auberge.